Préparez-vous... à tout !
“Un trail, ça se prépare. Si tu veux réussir ta course, il faut la préparer en amont. Teste ta tenue, ton matériel, ton alimentation. Le but est que rien ne soit laissé au hasard le jour J.”
Que ce soit physiquement, mentalement ou pour votre équipement, un trail ne se prépare pas comme une autre course. D’ailleurs, bien souvent il ne se prépare pas seul·e ! Alors pour vous accompagner en amont de vos trails courtes et moyennes distances, nous vous présentons les conseils de Gaëtan, chef de produit sur le sac de trail 10L de Kalenji et mordu de cette discipline.
“Un trail, ça se prépare. Si tu veux réussir ta course, il faut la préparer en amont. Teste ta tenue, ton matériel, ton alimentation. Le but est que rien ne soit laissé au hasard le jour J.”
“C’est un enchaînement d’étapes pour arriver au trail et par la suite à l’ultra. La préparation est mentale et physique. Elle demande de l’organisation et un plan d’entraînement.”
“C’est important de multiplier les entraînements pour vivre à l’avance les situations que l’on retrouve en course. Il y a toujours des moments où tu es au fond mentalement. Si tu n’as pas l’expérience à ce moment là, abandonner peut te venir à l'esprit.”
“Il y a toujours la loi de l’embêtement minimum en trail ! Et pendant la préparation, ça passe par la recherche d’un équipement performant, qui t’accompagne en toute sécurité jusqu’au bout.”
“Nous avons développé 2 sacs : un sac 10 litres pour les distances courtes et moyennes, jusqu’à 80 km et un sac 15 litres pour les courses moyennes et longues, jusqu’à l’ultra-trail. J’ai eu l’occasion de réaliser des trails de plus de 70 km avec le sac 10 litres cette année. On voulait s’assurer qu’il était possible d’emporter tout son équipement obligatoire et toute son hydratation dans des sacs les plus légers et les plus stables possible.”
“C’est le conseil principal pour préparer son trail : organiser son sac. Tu places les objets au bon endroit pour effectuer le moins de gestes possible en course. Par exemple, la poche filet à l’arrière est importante : tu passes la main dans le dos, tu as ta veste coupe-vent ou ta veste pluie tout de suite, terminé ! Pour la même raison, on porte la veste coupe-vent ou la veste pluie par dessus le sac.”
“En plus de charger le sac de façon efficace, il est essentiel de bien le régler pour optimiser la stabilité. Comme ça, tu oublies qu’il est sur ton dos. Il faut que ton sac fasse corps avec toi-même. Cet équipement existe justement pour ne pas te mettre en difficulté.”
“Le fait d’emporter à la fois une poche à eau et des flasques souples permet d’alterner entre de l’eau et des boissons : ça peut être une boisson isotonique, une eau plus salée ou plus riche en sel minéraux ou même du coca pour l’apport énergétique.”