Interview ygor coelho

C'est mon père qui m'a encouragé à jouer au badminton. J'ai commencé à jouer à l'âge de 3 ans au sein de l'association Miratus (www.miratus.org), un projet social qu'il a créé en 1997 pour les enfants de notre quartier défavorisé à Rio de Janeiro (Brésil). À 6 ans, lorsque je suis entré à l'école, j'ai découvert d'autres sports, mais je m'en sortais déjà pas mal en badminton et j'obtenais des médailles, alors j'ai décidé de continuer. J'ai gagné mon premier titre panaméricain à l'âge de 10 ans et chaque jour, ce sport me passionnait un peu plus.

 J'ai joué pour 4 clubs dans ma vie : l'association Miratus, mon club brésilien qui vise plus l'inclusion sociale, mais qui affiche les meilleurs résultats brésiliens ces 13 dernières années. J'ai joué pour Miratus pendant plus de 15 ans et c'est ma famille. Puis, quand j'ai quitté le Brésil en 2014 pour acquérir une expérience internationale, j'ai eu l'occasion de jouer plusieurs mois pour Greve au Danemark. Puis, pour la saison 2017-2018, j'ai signé avec l'Union St Bruno en France (parce que je suivais un entraînement à l'INSEP en France) et depuis août 2018, je joue pour un club danois, Hojbjerg qui fait partie de la ligue danoise (ligue danoise principale). Quand je choisis mon club, je cherche d'abord un bon endroit pour m'entraîner et évoluer, puis un bon esprit d'équipe. J'adore les matchs par équipe et l'énergie que l'on peut tirer des coéquipiers si tout le monde joue pour les autres. 

Je n'ai pas choisi Perfly, ils m'ont choisi ! C'est une histoire incroyable en fait. En 2007, alors que j'avais 11 ans, la Fondation Decathlon a décidé de soutenir le projet social de mon père au Brésil et l'équipe de Perfly a également commencé à apporter une aide importante en nous envoyant de très bonnes raquettes et d'autres équipements. Ça a été essentiel, parce que nous avions déjà de très bons joueurs juniors au sein du projet, mais pas de bon équipement. Ça a donc fait la différence et j'ai remporté 3 médailles aux championnats panaméricains Juniors cette année-là. En 2010, Perfly a décidé d'aller plus loin et de signer un contrat avec 3 des gamins du projet (j'étais l'un d'eux). Tous les 3, nous avions plus d'équipements pour évoluer et là encore, les résultats ont suivi. Les années ont passé et j'ai grandi avec Perfly. En 2015, la marque a fait un pas de plus en décidant de me soutenir aussi financièrement. Et là encore, cette aide a été cruciale, parce que j'essayais de me qualifier pour les Jeux olympiques de Rio. Le soutien de Perfly a donc été très important pour jouer dans un plus grand nombre de tournois. Et nous voilà, plus de 12 ans de partenariat et je suis super fier d'être un des ambassadeurs Perfly aujourd'hui ! Merci à l'équipe de Perfly et merci à Hans Peter Jensen, vous avez absolument fait la différence dans ma vie !

Eh bien, en fait, j'ai deux objectifs principaux. Je suis l'un des ambassadeurs de la marque pour le badminton et je communique au sujet de la marque à travers le monde. Et je participe aussi au développement des produits en testant les raquettes, les volants, les chaussures et tous les équipements et en essayant de les améliorer chaque jour.

La première personne qui m'a motivé, c'était Mathieu Lo Ying Pin qui était lui aussi ambassadeur de la marque Perfly. Je l'ai vu jouer avec sa raquette 990P et comme j'estimais que j'avais un jeu assez proche du sien, j'ai décidé de l'essayer. Et aujourd'hui encore, j'utilise la 990P et j'en suis très satisfait. 

14 kg. Ça m'aide à avoir un bon ressenti et un contrôle du volant, aussi bien à l'attaque qu'au filet. J'aime avoir une bonne tension.

Pour moi, Perfly présente un excellent rapport qualité/prix. C'est un très bon équipement, à des prix incomparables, et c'est essentiel pour développer ce sport dans des pays comme le Brésil. Ça permet de donner accès à de nombreuses personnes et c'est la raison pour laquelle je suis fidèle à cette marque.