Marcher quand la vitesse diminue
Le constat est simple et universel : plus la pente est raide, plus votre vitesse diminuera jusqu’à atteindre une phase proche du piétinement. Vous noterez alors que votre allure n’est plus si éloignée de votre vitesse de marche. Dans ce cas, opter pour une marche rapide sera bien plus opportun compte tenu des bénéfices que vous en retirerez : rythme cardiaque plus bas, meilleure oxygénation et moins de dépense énergétique.
Bien entendu les aptitudes de chaque coureur et son expérience face à un chemin escarpé lui permettront de déterminer ses propres limites en fonction du profil de la course (distance, nombre de côtes, inclinaison, dénivelé positif cumulé, etc.). Dans tous les cas, il n’appartient qu’à vous de définir à quel moment il vous sera plus judicieux de gérer votre ascension en marchant vite plutôt que de monter en courant.