- Respecter des paliers en débutant par des sorties rassurantes sur des parcours qui ont été empruntés de jour. On vérifiera ainsi la topographie exacte du terrain, le revêtement du sol et les possibles abris.
- S’assurer en amont de l’entraînement – en compétition, les organisateurs se chargent généralement d’informer les concurrents – des conditions météo. Il est préférable d’annuler une séance d’entraînement lorsque des précipitations significatives (pluie ou neige) sont annoncées. Eviter également de sortir sans une solide expérience si le mercure descend en-dessous de zéro degré.
- Adopter une foulée plus courte qu’à l’ordinaire afin de valider précisément les points d’impact. Le regard restera concentré sur l’environnement immédiat – sauf sur des axes bitumés de bonne qualité – sans pour autant omettre de vérifier régulièrement qu’aucun changement de terrain brutal ou inattendu ne se présente à l’horizon. Préférable, sur sols glissants ou boueux, de ralentir pour éviter les chutes plus ou moins sérieuses.